
Thérèse factrice
Thérèse agit
Eugène Cailleaux, brancardier à la 5e compagnie du 33e régiment d’infanterie, est hospitalisé à Aix-les-Bains en juin 1915. Sans nouvelles de sa famille restée en pays envahi, il fait deux neuvaines à Thérèse pour en obtenir de l'aide. Au cours de la seconde, Thérèse lui apparaît.
Il raconte : « Je vis sœur Thérèse tout en blanc, et bien en réalité ; elle me montra cinq lettres, les unes après les autres, en me disant : “Regarde” .» Elle disparaît aussitôt, mais Eugène ne retrouve pas les lettres qu’elle avait déposées près de lui. Le lendemain matin, lors de la distribution du courrier, il reçoit effectivement les cinq lettres annoncées par Thérèse.
Je prie et j'agis
Seigneur Jésus, Fils unique de Dieu et notre Sauveur, souviens-toi que Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus consuma sa vie ici-bas pour le salut des âmes et voulut « passer son Ciel à faire du bien sur la terre » : parce qu’elle fut ton épouse bien-aimée, passionnée pour ta gloire, nous la prions. Je m’en remets à toi, afin d’obtenir les grâces que j’implore en me confiant à son intercession. Ô Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, vois la confiance que je mets en toi et accueille mes intentions. Intercède pour moi auprès de la Vierge Marie qui vint te sourire au moment de l’épreuve. Regarde aussi tous ceux qui peinent et qui souffrent et tous ceux qui te prient : je m’unis à eux comme à des sœurs et à des frères.