
Son cheval retrouve sa relique
Thérèse agit
En mars 1915, Lionel Delafoy, jeune artilleur, reçoit de la part de son frère, le père Guy Delafoy, une relique de Thérèse. Peu après l’avoir reçue, il la perd sur le champ de bataille. Terriblement attristé par cette perte, il ne voit cependant aucun moyen de la retrouver. Le lendemain, il parcourt le champ de bataille à cheval quand, tout à coup, l’animal s’arrête, remuant la tête et frappant le sol avec force. Malgré les coups d’éperon du soldat, il refuse d’avancer. Avec insistance, il baisse profondément la tête, par trois fois. Ne comprenant pas l’obstination de son cheval, l’artilleur descend de sa monture et inspecte le sol à la recherche de ce qui l’effraie. Il se penche et, près du sabot du cheval, il aperçoit sa « chère relique ».
Je prie et j'agis
Esprit-Saint, source de toute grâce et de tout amour, c’est par ton action que sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus fut comblée de prévenances divines et y répondit avec une parfaite fidélité. Maintenant qu’elle intercède pour nous, et ne veut prendre aucun repos jusqu’à la fin des temps, nous l’implorons. Je te demande d’inspirer et d’écouter ma prière, afin que me soit accordée la faveur confiée à son intercession. Ô sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, vois la confiance que je mets en toi et accueille mes intentions. Intercède pour moi auprès de la Vierge Marie qui vint te sourire au moment de l’épreuve. Regarde aussi tous ceux qui peinent et qui souffrent et tous ceux qui te prient : je m’unis à eux comme à des sœurs et à des frères.