Il recrache l'épingle avalée

On recense dans les archives du carmel de Lisieux une dizaine de cas d’enfants ayant avalé une épingle (la plupart du temps, servant à attacher leur bavoir) et l’ayant recrachée grâce à l’intervention de Thérèse. Plusieurs parents ont même joint l’épingle à leur courrier en ex-voto. On trouve également des cas semblables avec des aiguilles, des broches ou encore divers bijoux.

En mai 1934, à Rio de Janeiro au Brésil, un petit garçon de 15 mois avale une épingle à laquelle est suspendue une médaille de la Sainte Vierge et de « Terezinha ». La radiographie effectuée par les médecins montre que l’épingle, qui est ouverte, risque de perforer les muqueuses du jeune Paul.

Une voisine de la famille, femme pieuse propageant la dévotion à sainte Thérèse, conseille à la mère de prier la jeune carmélite : « Vous verrez qu’elle sauvera votre bébé », lui dit-elle.

Quelques heures plus tard, le bébé recrache l’épingle sans aucune difficulté et sans séquelles. Après avoir examiné la radiographie, le médecin explique à la maman que la médaille, en se plaçant dans un certain sens, avait empêché l’épingle de déchirer les tissus, ce qui l’étonne fortement.

Seigneur Jésus, Fils unique de Dieu et notre Sauveur, souviens-toi que Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus consuma sa vie ici-bas pour le salut des âmes et voulut « passer son Ciel à faire du bien sur la terre » : parce qu’elle fut ton épouse bien-aimée, passionnée pour ta gloire, nous la prions. Je m’en remets à toi, afin d’obtenir les grâces que j’implore en me confiant à son intercession. Ô Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, vois la confiance que je mets en toi et accueille mes intentions. Intercède pour moi auprès de la Vierge Marie qui vint te sourire au moment de l’épreuve. Regarde aussi tous ceux qui peinent et qui souffrent et tous ceux qui te prient : je m’unis à eux comme à des sœurs et à des frères.