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Mercredi 7 février 2024

La bienheureuse Anne-Marie Adorni (1805-1893) guérit un jeune italien

Un jour de février 1939, Giuseppe Buttignol, jeune italien, est frappé d’un violent mal de tête. Son médecin diagnostique une « encéphalite léthargique ». Absence complète de sensibilité, rigidité des membres, perte totale de l’appétit... l'état est préoccupant. Aucun remède ne fait d'effet. Giuseppe plonge dans un coma profond. Il va y rester seize jours. Sa respiration est à peine perceptible. La mort est annoncée.

Ses parents et les religieuses de la Maison Généralice des Servantes de l’Immaculée, entreprennent alors une neuvaine en l'honneur de leur fondatrice, la vénérable Anne-Marie Adorni. Une parente de Giuseppe, sœur elle aussi de cette congrégation, place des images de la Servante de Dieu dans la chambre du malade et glisse sous sa tête une relique d’Anne-Marie.

Le sixième jour de la neuvaine, Giuseppe se réveille soudainement, totalement guéri. Tous ses paramètres physiologiques sont excellents. Personne n'y comprend rien. Le malade et les siens louent Dieu. Giuseppe n'a pas eu la moindre séquelle et n'a jamais pris de traitement médical. La coïncidence chronologique et le lien entre l’invocation à Anne-Marie Adorni et la guérison de Giuseppe Buttignol ont été actés par l’Église, ainsi que cette guérison miraculeuse, le 27 novembre 2008.

Anne-Marie a été béatifiée en 2010 par le pape Benoît XVI.

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