
Elle perd une pièce de monnaie et la retrouve... dans sa main !
Mise en contexte
En 1913, les religieuses de la Visitation de Richmond aux États-Unis écrivent au carmel de Lisieux pour relater l’histoire arrivée à l’une de leurs élèves, la jeune Nellie, âgée de 15 ans.
Thérèse agit
Nellie, récemment convertie au catholicisme, aime tout particulièrement Thérèse. Un jour, alors que la supérieure lui demande d’aller faire des courses, elle perd un quart de dollar. Bien embêtée car cela lui était déjà arrivé une fois, elle redoute d’être réprimandée, ou même qu’on la soupçonne de vol.
Elle retourne sur ses pas à la recherche de la pièce mais ne la retrouve pas. Elle se résigne alors à rentrer au couvent pour avouer sa faute, mais prie Thérèse de l’aider. Alors qu’elle s’apprête à aller voir la supérieure, « elle sent l’argent lui tomber dans la main ». Elle ne comprend pas d’où vient cette pièce de monnaie. Personne n’a pu lui donner car, à ce moment-là, elle était seule. L’argent ne pouvait non plus s’être trouvé caché dans des gants ou des manches car ses mains et poignets étaient nus… Elle est donc persuadée que « seule la “Petite Fleur” a pu faire cela ! ».
Je prie et j'agis
Esprit-Saint, source de toute grâce et de tout amour, c’est par ton action que sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus fut comblée de prévenances divines et y répondit avec une parfaite fidélité. Maintenant qu’elle intercède pour nous, et ne veut prendre aucun repos jusqu’à la fin des temps , nous l’implorons. Je te demande d’inspirer et d’écouter ma prière, afin que me soit accordée la faveur confiée à son intercession. Ô Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, vois la confiance que je mets en toi et accueille mes intentions. Intercède pour moi auprès de la Vierge Marie qui vint te sourire au moment de l’épreuve. Regarde aussi tous ceux qui peinent et qui souffrent et tous ceux qui te prient : je m’unis à eux comme à des sœurs et à des frères.