La date du dogme de l'Assomption : Toussaint 1950
Le 1er novembre 1950, le pape Pie XII a solennellement proclamé le dogme de l’Assomption, affirmant la destinée glorieuse du corps de Marie et, par elle, la vocation de tout être humain à participer à la sainteté et à la gloire divine. Cette proclamation, survenue en un temps marqué par les blessures profondes de la guerre, révèle la dignité transcendante du corps humain appelé à la résurrection et à la vie éternelle.
Le 1er novembre 1950, la Constitution apostolique « Munificentissimus Deus »[1] est donnée par Pie XII et proclame le dogme de l'Assomption.
C'est le jour de la Toussaint (1er novembre), et voici que quelque chose est dit qui a une signification pour la destinée de tous les saints.
C'est en 1950, très peu de temps après la fin de la guerre mondiale et Auschwitz où le corps humain a été si gravement humilié et désacralisé. Et voici que le dogme de l'Assomption proclame le destin surnaturel et la dignité de tout corps humain, appelé par le Seigneur à devenir un instrument de sainteté et à participer à sa gloire.[2]
[1] H. Denzinger - A. Schönmetzger, Enchiridion Symbolorum, § 3900-3904
[2] Cf. JeanPaul II, Catéchèse (audience) du 9 juillet 1997
Extraits de :
Françoise Breynaert, A l'écoute de Marie, préface Mgr Rey, tome II,
éditions du ver luisant, Brive 2007 (diffusion Mediaspaul), p. 185.
[Lien perdu]
Le 1er novembre 1950, la Constitution apostolique « Munificentissimus Deus »[2] est donnée par Pie XII et proclame le dogme de l'Assomption.
C'est le jour de la Toussaint (1er novembre), et voici que quelque chose est dit qui a une signification pour la destinée de tous les saints.
C'est en 1950, très peu de temps après la fin de la guerre mondiale et Auschwitz où le corps humain a été si gravement humilié et désacralisé. Et voici que le dogme de l'Assomption proclame le destin surnaturel et la dignité de tout corps humain, appelé par le Seigneur à devenir un instrument de sainteté et à participer à sa gloire.[1]
[1] Cf. JeanPaul II, Catéchèse (audience) du 9 juillet 1997
[2] H. Denzinger - A. Schönmetzger, Enchiridion Symbolorum, § 3900-3904
Extraits de :
Françoise Breynaert, A l'écoute de Marie, préface Mgr Rey, tome II,
éditions du ver luisant, Brive 2007 (diffusion Mediaspaul), p. 185.
[Lien perdu]