Amsterdam : les femmes, les hommes, la famille…

En ce jour de l’Annonciation 1945, la Vierge Marie se manifeste à Ida Peerdeman à Amsterdam, inaugurant une série d’apparitions reconnues pour leur profondeur spirituelle et leur appel à restaurer l’unité familiale et la responsabilité de chacun selon son rôle. Par ses messages empreints de compassion, Marie invite hommes et femmes à s’engager pleinement dans leur vocation chrétienne, faisant d’elle la « Dame de tous les Peuples » et un guide lumineux pour notre temps.


Le 25 mars 1945, en la fête de l’Annonciation, la Vierge Marie apparaît à une femme toute simple, Ida Peerdeman (+1996), qui habite à Amsterdam avec ses sœurs. C’est la première de 56 apparitions qui vont se succéder par intermittence, entre 1945 et 1959. L’évêque diocésain a reconnu le caractère surnaturel des messages de la Dame de tous les Peuples le 31 mai 2002[1].

Les messages concernant les femmes, les hommes, la famille, sont d’une extraordinaire actualité…

16 novembre 1950[2]

« Pour commencer, que chacun, en Allemagne, rétablisse l’union dans sa propre maison. Que les enfants, de nouveau, forment un tout avec le père et la mère. Qu’ils s’agenouillent en famille ; qu’ensemble ils récitent le Rosaire. »

10 décembre 1950[3]

« La Dame me paraît à présent ordonner une foule, la groupant sur deux rangs. À sa droite sont les hommes ; à sa gauche, les femmes. Elle désigne les femmes. Son visage prend un air d’extrême compassion. Elle hoche la tête, et, toute pitié, elle prononce :

  • "Savez-vous quels sont encore vos devoirs ? Écoutez ceci : Tant vaut la femme, tant vaut l’homme. Vous, femmes, donnez l’exemple. Revenez à votre rôle de femme."

Se tournant vers les hommes :

  • "Et vous, hommes, j’ai une question à vous poser : Où sont les soldats du Christ ? C’est tout ce que j’ai à vous dire." »


[1] Site officiel

[2] Raoul AUCLAIR, La Dame de tous les peuples, Nouvelles Éditions Latines, Paris 1967, p. 100

[3] Raoul AUCLAIR, La Dame de tous les peuples, Nouvelles Éditions Latines, Paris 1967, p. 104


F. Breynaert

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