Saint Bauzille de la Sylve (34) : Notre-Dame du Dimanche
En 1873, la Vierge Marie apparaît à Auguste Arnaud dans un humble village du sud de la France, l’appelant à construire une croix et à honorer le dimanche comme jour de repos et de foi, invitant ainsi les croyants à la procession à Notre-Dame de Gignac. Cette manifestation mariale, reconnue par l’Église, souligne l’importance spirituelle du dimanche et la puissance de la confiance en Marie pour guider les fidèles vers le bonheur et la sanctification.
Origine
Nous sommes en 1873, le 8 juin, dimanche de la Trinité, dans un petit village du midi de la France (près de Montpellier).
Auguste Arnaud travaille dans sa vigne depuis 5 heures du matin. Vers 7h 30, la Vierge Marie lui apparaît et lui demande de construire une croix. Auguste fait donc une croix de bois à l’endroit indiqué.
Le 8 juillet 1873, dans une seconde apparition, la Vierge Marie dit à Auguste, dans le patois du pays :
« Il ne faut pas travailler le dimanche »
puis elle enchaîna :
« Heureux celui qui croira et malheureux celui qui ne croira pas. Il faut aller à Notre-Dame de Gignac en procession. Vous serez heureux avec toute votre famille. »
Marie fit ensuite glisser le chapelet qu’elle portait sur sa main gauche, puis bénit la foule de sa main droite, en disant :
« Que l’on chante des cantiques. »
Auguste continua sa vie de vigneron en devenant un chrétien fervent et il mourut à l’âge de 93 ans.
Position de l’Église
Après une longue enquête, Mgr de Cabrières autorisa, en 1879, l’érection d’un sanctuaire en l’honneur de la Très Vierge Marie.
À cela, il faudrait ajouter tout ce que le magistère enseigne (et répète) au sujet du dimanche (voir les liens de bas de page).
Source : nouvelle évangélisation