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Numéro 22
« Réserve-moi ce cœur que je t’ai donné »
Le dimanche 7 novembre 1920, sœur Josefa médite encore les paroles du Christ entendues la veille, comme une sainte pédagogie. Peu à peu, la religieuse admet qu’elle ne peut rien par elle-même. Seul Dieu agit en elle, à travers les faiblesses de son humanité, c’est-à-dire ses manques d’amour.
Tandis qu’elle prie avec recueillement, le Sauveur lui apparaît :
« Dis-moi que tu m’aimes, c’est ce que qui me console le plus. Oui, réserve-moi ce cœur que je t’ai donné et ne cherche en tout que l’amour. C’est ce que je désire. »
7 novembre 1920