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Numéro 56
Je n’ai pas de plus grand désir, ni de plus grande joie que de pardonner
Jésus, qui veut apprendre à Sœur Josefa l’humilité par l’expérience de sa misère, ne la délivre pas des faiblesses de sa nature. Il semble plutôt se plaire à la voir petite et confuse pour lui rappeler sans cesse la bonté de Son Cœur :
« Pourquoi crains-tu ? […] Quand un petit enfant fait ses premiers pas, sa mère le tient d’abord par la main, elle le lâche ensuite pour l’inciter à marcher, mais elle lui tend les bras, afin qu’il ne tombe pas. »
« Mon cœur trouve sa consolation à pardonner. Je n’ai pas de plus grand désir, ni de plus grande joie que de pardonner. Quand une âme revient à Moi après une chute, la consolation qu’elle Me donne est pour elle un gain, car Je la regarde avec un grand Amour. »
29 Mai 1921