
Cette parabole n’est qu’une faible image de mon amour pour les hommes (2)
« La vie qu’Il mena ici-bas, tous vous la connaissez. Vous savez comment, dès le premier moment de mon incarnation, Je me soumis à toutes les misères de la nature humaine. […] Je me consacrai à faire connaître mon Père Céleste et à tous j’enseignai que Dieu est charité. Je passai en faisant le bien aux corps et aux âmes. […] Je leur ouvris les portes de la vraie et éternelle Patrie.
L‘heure vint où pour racheter leur salut, le Fils de Dieu voulut donner jusqu’à sa propre vie. Et comment mourut-il ? Entouré d’amis ? Acclamé comme un bienfaiteur ? […] Ainsi se livra-t-il pour le salut de l’homme. Ainsi accomplit-Il l’œuvre pour laquelle Il avait quitté la Gloire de son Père : l’homme était malade et le Fils de Dieu descendit vers lui. Non seulement Il lui rendit la vie, mais Il lui mérita les forces et les moyens nécessaires pour acquérir ici-bas le trésor d’une éternelle félicité. »