Un argument fort car le coton était pris dans la toile

La présence de coton intriqué dans le tissage du Linceul, attestée avec certitude par le professeur Raës, renforce son origine moyen-orientale, éclairant ainsi la dimension historique et spirituelle de ce précieux témoignage lié au mystère de la Passion du Christ. Cette analyse invite à approfondir la compréhension de ce tissu unique, porteur d’une foi vivante et d’un lien profond avec Marie, témoin silencieuse de la Rédemption.


Certains affirment que la présence de coton retrouvé ne confirme pas l’origine moyen-orientale du Linceul, car il aurait pu se déposer ultérieurement lors d’une manipulation, comme il a été par ailleurs retrouvé des fibres modernes de viscose.

Le professeur Raës est formel : le coton retrouvé faisait partie de la toile, il était pris, intriqué dans le tissage, de sorte qu’il n’y avait aucune confusion possible ni d’autre interprétation possible.

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