Bradi Barth (1922-2007 )
Bradi Barth, artiste belge au parcours discret mais reconnu internationalement, exprime dans ses œuvres une spiritualité profonde où la Vierge Marie, lumineuse et mystérieuse, occupe une place centrale, invitant à une contemplation sereine et pleine d’innocence. À travers des portraits empreints de douceur et de pureté, son art, nourri par la prière, renouvelle la tradition iconographique en révélant la lumière intérieure des figures sacrées.
Quelques mots sur sa vie.
Bradi Barth est née en 1922 et vit en Belgique une vie retirée et quasi monastique, dans un semi-anonymat. Sa renommée mondiale après une exposition à la galerie d’art de Denver en 1960. Elle expose ensuite à Chicago, Oklahoma, Londres, Sidney, Munich, New York City, Bruxelles.
Voici le site officiel : [Lien perdu]
Quelques mots sur son art[1].
Des regards pénétrants et aimants, sans retour sur eux-mêmes. La douceur, la fluidité, la limpidité et la pureté sans mièvrerie sont rarissimes à notre époque. Ses personnages graves et sereins ont la force de l’innocence. Les visages irradient une lumière intérieure. L’artiste a une prédilection pour la représentation de la Vierge, en tous ses mystères, et pour les scènes d’Evangile. Cet art très reconnaissable, conçu dans la prière comme les icônes, rappelle les peintres flamands des XV° et XVI°, ou encore Fra Angelico.
Exemples :
Vie à Nazareth (cliquez) [Lien perdu]-au-pommier.JPG>Vierge au pommier (cliquez)
[1] Marie Gabrielle Leblanc, Famille chrétienne N° 1514 du 20 au 26 janvier 2007, p. 60.
Synthèse F. Breynaert
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